Page:Vielé-Griffin - La Chevauchée d’Yeldis, Vanier, 1893.djvu/42

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Il n’est pas jusqu’à l’orage imprévu
Qui facilite l’héroïsme (souviens-toi)
Et je serai si brave sous les éclairs
(Et tel, ma foi, que tu m’as déjà vu)
Que j’en mériterai tes baisers fiers ;
Viens, Juin a fleuri prés et bois
Et les demains sont les hiers
..... Je crois ?…