Page:Vielé-Griffin - La Légende ailée de Wieland le forgeron, 1900.djvu/25

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Puis plongeaient, l’une et l’une,
Ou se dressaient, soudain !
Hors des flots, jusqu’aux hanches,
Élancées !
En un éclat de rire envolé
Et se faisant des signes,
Toutes blanches,
De leurs beaux bras levés.