Page:Vielé-Griffin - Le Domaine royal, 1923.djvu/24

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A ROBERT DE SOUZA Mon cher Robert, Tu me disais

« En tête de ces jeux lyriques où tu t’es plu aux « discours » écrits et mesurés que nos pères appelaient « poèmes », peut-être serait-il convenant d’expliquer cet élégant défiporté àton art?» Soit ! je résume

.

Hôte respectueux du Domaine, où tant de