Page:Vielé-Griffin - Le Domaine royal, 1923.djvu/60

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NOËL l LA NOËL DES ENFANTS Je suis seul, et, tantôt, autour de l’Arbre en feu,, Tous les petits enfants pour qui mourut un Dieu, Auprès de son berceau courtine d’ailes d’anges, Radieux de paillons, de papiers peints, d’oranges,, Vont prendre de ses mains, dans un sourire arqué,. Ses mains où nul stigmate, encore, n’a marqué, Tous les petits enfants vont prendre de sa main D’un geste gauche de fillette ou de gamin,