Page:Vielé-Griffin - Les Cygnes, 1892.djvu/41

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Je suis très las ;
Pourquoi la nuit, pourquoi la fin, pourquoi
Ce fol amour en moi
De ton sourire, jeune, tout là-bas,
Pâle, vain, en ma mémoire de ton été
— Qui passe, loin de moi… Comme l’éternité…