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Page:Vielé-Griffin - Phocas le Jardinier, 1898.djvu/13

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DÉDICACE Les quelques amis qui souhaitèrent de voir réunis en un volume ces poèmes de différentes époques en voudront sans doute accepter la dé- dicace collective ; Si non, l’auteur les dédierait volontiers aux mânes tendres de S ami a, de Swanhilde et de Thalie, quoi ([u’ elles lui aient conté de la vanité de vivre et d’aimer, de Vinanité de l’action, de la folie du sacrifice, de llimpossible repos; car elles lui sont comme les heures mortes de sa jeu- nesse d’hier, et l’ombre souriante des douleurs choyées.