Page:Vielé-Griffin - Plus loin, 1906.djvu/22

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


On rêverait toute une vie
D’espoir si vain qu’on en doute...
― Mais voici la côte gravie,
Et voici le soir, et la route.