Page:Vielé-Griffin - Plus loin, 1906.djvu/47

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.






XVI


On part à sa guise et l’on chante
― Quel écho dira le refrain ?
Ce sont nos vieux airs qui me hantent,
Et comme une angoisse m’étreint —

On part à son heure et sans hâte
― Et le pas s’est précipité —
On a choisi la route plate
― Nous allons gravir le sentier ;