Page:Vielé-Griffin - Plus loin, 1906.djvu/58

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La vague surgit et nous porte,
Nous qui chantions sous nos treilles,
Assis devant notre porte
À compter nos jours pareils ;

Nous qui chantions en poète,
L’un pour l’autre, nos mêmes soucis,
Savons-nous si nos âmes sont prêtes
Pour les lendemains que voici ?