Page:Vielé-Griffin - Poèmes et Poésies, 1907.djvu/106

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Tais-toi ; ne rêve plus la splendeur qui t’enivre :
Cette joie impuissante est pire — une heure a fui —
Que saurais-tu vouloir, toi qui dédaignes vivre…

Le grand ciel étoile révolve dans la nuit.