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LA FLUTE.

Que son souffle était faux par le faux instrument,
N’était ni glorieux ni vil, n’étant pas libre ;
Que le corps seulement empêchait l’équilibre ;
Et, calme, elle reprend, dans l’idéal bonheur,
La sainte égalité des esprits du Seigneur. »

IV

Le Pauvre alors rougit d’une joie imprévue,
Et contempla sa Flûte avec une autre vue ;
Puis, me connaissant mieux, sans craindre mon aspect,
Il la baisa deux fois en signe de respect,