Page:Vigny - Servitude et grandeur militaires, 1885.djvu/121

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


CHAPITRE VI

UN SOUPIR


« Hélas ! dis-je, voilà un poète bien à sa place. »

La jeune personne et le sous-officier se regardèrent, comme affligés de voir interrompre leur bon père ; mais le digne Adjudant reprit la suite de son histoire, après avoir relevé de chaque côté la cravate noire qu’il portait, doublée d’une cravate blanche, attachée militairement.