Page:Villemain - Cours de littérature française, tome 4.djvu/449

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
TABLE ANALYTIQUE
DES MATIÈRES CONTENUES DANS CE VOLUME.

XLVIIIe LEÇON.
Pages.
Considérations générales sur l’éloquence politique. – Caractère particulier de l’éloquence politique chez les modernes, et surtout en France. — En quoi diffère de la tribune antique. — La Grèce. — Rome. – Puissance de l’improvisation. — Exemple rapporté par Cicéron. — Vie périlleuse des orateurs. — Admirable peinture qu’en fait Cicéron. — Cet état presque habituel de la république romaine se retrouve dans nos troubles civils. — Une séance du sénat romain. — Caractère politique de l’éloquence chrétienne dans les premiers siècles. — Résumé 
 1
XLIXe LEÇON.
L’éloquence politique placée moins haut par Cicéron que l’éloquence judiciaire. Pourquoi ? — Rare et tardive chez les modernes. — Elle n’a longtemps d’autre asile que les conciles. — Anciens états généraux de France. — Parlement d’Angleterre. — Vicissitudes de la constitution anglaise. — Époques diverses du parlement. — Époques scolastique et religieuse. — De l’éloquence de Cromwell. —Première époque toute politique. — Portrait de Bolingbroke. — Windbam ; Walpole Pultency. — Citations. — Résumé 
 29
Le LEÇON.
Unité du sujet dans cette leçon. — William Pitt. — Détails sur son éducation et sa jeunesse. — Caractère de son éloquence ; sa lutte contre Walpole. — Vie parlementaire de William Pitt. — Ministre en 1756, et de nouveau en 1757. — Exemple d’une élévation indépendante de l’aristocratie et de la cour. — Glorieuse administration de William Pitt. — Sa retraite. — Fermeté de ses principes. — Refuse plusieurs fois le ministère. — Rentre dans les affaires en 1766. — Est créé lord et vicomte de Chatam. — Courte durée de son ministère. — Son opposition aux rigueurs exercées contre les colonies d’Amérique. — Sa haute prévoyance. — Ses discours aux différentes époques de la guerre d’Amérique. — Ses dernières paroles à la chambre des pairs. — Sa mort. — Honneurs rendus à sa mémoire. — Parallèle de cette mort d’un grand ministre dans un état libre, avec celles de Richelieu et de Mazarin 
 60