Considérons le cas de l’écoulément dans une canalisation à parois immobiles. L’énergie mécanique produite (§ 7) se réduit alors à l’augmentation d’énergie cinétique qui définit
Si l’on envisage par exemple le problème de l’étranglement, avec vitesses négligeables en aval et en amont, sera nul, et sera déterminé par la longueur de l’horizontale AB. Au contraire, la verticale AB’ définit la détente entièrement réversible, qui s’accompagne d’une augmentation d’énergie cinétique égale à AB’. Le second
cas est celui où la chute d’énergie utilisable est tout entière transformée
en énergie cinétique, sans aucune décoordination. Le premier
cas est au contraire celui de la décoordination totale. Cette décoordiuation
intervient de deux manières : d’une part elle diminue la
chute d’énergie utilisable, parce que [1], d’autre part la
perte énergétique qu’elle comporte absorbe complètement la chute
restante
Dans les cas intermédiaires, on pourra déterminer le point d’arrivée B" si l’on suppose connue la valeur de la fraction de l’énergie cinétique attendue qui s’est décoordonnée au cours de la détente de à
16. Pertes par écoulements irréversibles de chaleur. — Une