Page:Villiers de L'Isle-Adam - Tribulat Bonhomet, 1908.djvu/33

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préciables, soit ; mais devons-nous être, longtemps encore, à la merci des éventuelles gracieusetés d’un solfatare, alors que nos jours en dépendent ? Ne vaudrait-il pas mieux nous résigner, comme de pratiques savants le proposent, à vider tout bonnement le Vésuve, pour créer des exutoires plus libres aux suburbaines flatuosités de la planète ?

« Question.

« Le plus révoltant de l’aventure est que maintes gens, tolérés, dans nos grands centres, on ne sait trop à quel titre — (à celui d’« artistes » je crois ?) — ont l’air, pour gouailler le Progrès, de s’autoriser de ces calamiteuses fumisteries de notre étoile, prétextant que ces aveugles oscillations des couches terraquées de l’Italie démontrent l’ingérence, en nos affaires, de Puissances secrètes, espiègles et nuisibles. — Oui ! oui ! c’est cette idée bis-