Page:Villiers de L’Isle-Adam, Premières poésies, 1893.djvu/26

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<poem>» — Mais les djinns gardent les amours

» Des giaours !

» Va ! nous passerons, à l’aurore, » Devant le minaret sonore, » Narguant ses derviches hideux

» Toujours tous deux.

» — Ou, si le khandjar de l’eunuque » Ce soir me tombe sur la nuque, » Ton âme, au paradis d’Allah,

» Me rejoindra !... »