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IV
EXIL
STANCES
I
Celle-là, — disait-il, — c’est la fille des plages
Où le pâle Océan cambre ses flancs sauvages ;
Où, la nuit, les rochers, ces lourds piliers des mers,
Guettent les matelots en proie au ciel qui gronde ;
Où, pour les bâtiments, au large, errants sur l’onde,
Le vent creuse un tombeau dans les sillons amers !