Page:Villiers de L’Isle-Adam, Premières poésies, 1893.djvu/42

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» Ton œil bleu luit timidement :
» Et c’est un bien pur diamant
» Pour un cloître austère !

» N’es-tu pas toute jeune encor,
» Et des amours la coupe d’or
» Est-elle épuisée ?
» Sèche tes pleurs avec des fleurs,
» Enfant, les fleurs prendront tes pleurs
» Pour de la rosée ! »