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CHAPITRE XI
AVENTURES CHEVALERESQUES
« Vous les reconnaîtrez par leurs fruits. »
C’était par cette petite porte du pavillon que Tullia Fabriana sortait souvent, de nuit, vêtue en cavalier, l’épée à la hanche et le masque sur le front.
Toujours seule.
Sous ses vêtements elle portait une cuirasse d’acier d’une légèreté sans pareille : c’était l’ouvrage de l’un des vieux artistes du xvie siècle qui