Page:Vimar - Le Boy de Marius Bouillabès.djvu/34

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sans rien remarquer, puis il voulut passer quand même par une porte moins large que mon Pleyel, dont tout le couvercle et l’avant-train restèrent empêtrés dans les chambranles, la table d’harmonie rompue en trois morceaux, il ne demeura à peu près intact que la lyre et les deux pédales. Plein de confusion, Jingo me les apporta dans la cour où je l’attendais non sans angoisse. »