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Il faut dire que les baldaquins, à moins de prendre des dimensions très-considérables, gênent le cérémonial adopté aujourd’hui aux autels principaux des églises importantes. Pour les cathédrales, les baldaquins étaient contraires aux dispositions adoptées depuis le XIIe siècle, puisque les évêques, en reconstruisant leurs églises, tenaient au contraire à ce que la table de l’autel fût libre, et à ce qu’elle pût être vue de tous les points de l’église.



fin du tome quatrième.


Paris. — Imprimé chez Bonaventure et Ducessois. 55, quai des Grands-Augustins.