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que les Italiens ont généralement incliné à rendre le vêtement militaire aussi léger que possible, tandis que les Allemands, au contraire,

tendaient à le rendre lourd et embarrassant. — Entre la barbute et le surcot rembourré, le couest laissé nu. Cette cotte s’ouvre même à la racine du cou par deux pattes qui peuvent se croiser. Les bras ne