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Page:Virenque - L'enclos du rêve, 1904.djvu/146

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l’enclos du rêve


Et l’air pensif ou l’air mutin,
Plus roses d’être réveillées
Par ces pilleuses de butin,
Les fleurs de soie et de satin
Sur les rosiers éparpillées
Semblent heureuses ce matin.