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Page:Virenque - L'enclos du rêve, 1904.djvu/16

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l’enclos du rêve


Tout l’infini, tout l’idéal qu’on calomnie,
Vous les créez, splendeur du verbe d’harmonie,
Vous épandez des Fours les vaines floraisons !

Ô rythmes accouplés, cadences enjôleuses,
Vous êtes des oiseaux, des luths aux voix berceuses,
Dont je jette les chants en le vol des saisons !