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Page:Virenque - L'enclos du rêve, 1904.djvu/94

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l’enclos du rêve


Qu’ils aient pleuré, qu’ils aient gémi sur les chemins,
Les vieux ont le désir puissant des lendemains,

Des longues siestes aux portes ensoleillées
Et des feux clairs pétillant haut dans les veillées.