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ÉGLOGUE I. — MÉLIBÉE, TITYRE. — Mélibée, dépouillé de ses biens et forcé de s’exiler de sa patrie, déplore son malheureux sort.
ÉGLOGUE II. — ALEXIS. — Le berger Corydon se plaint de l’indifférenoe du jeune Alexis, et s’efforce, par des promesses, de se le rendre favorable.
ÉGLOGUE III. — MÉNALQUE, DAMÈTE, PALÉMON. — Ménalque et Damète se disputent le prix du chant : ils prennent pour juge Palémon.
ÉGLOGUE IV. — POLLION. — Virgile prédit la naissance d’un enfant miraculeux qui doit ramener l’âge d’or.
ÉGLOGUE V. — MÉNALQUE, MOPSUS. — Mopsus fait l’éloge funèbre de Daphnis ; Ménalque chante son apothéose.
ÉGLOGUE VI. — SILÈNE. — Silène, surpris dans une grotte par deux bergers, leur raconte l’origine du monde, d’après la doctrine d’Épicure. Il rappelle différentes fables de l’antiquité.
ÉGLOGUE VII. — MÉLIBÉE, CORYDON, THYRSIS. — Corydon et Thyrsis disputent entre eux le prix du chant, en présence de Daphnis et de Mélibée.
ÉGLOGUE VIII. — DAMON, ALPHÉSIBÉE. — Damon chante la douleur d’un berger à qui Nise, sa maîtresse, a préféré un rival ; Alphésibée dit par quels enchantements magiques une amante délaissée a rappelé son infidèle.
ÉGLOGUE IX. — LYCIDAS, MÉRIS. — Méris, se rendant à Mantoue, rencontre Lycidas et l’entretient de ses malheurs.
ÉGLOGUE X. — GALLUS. — Virgile raconte la douleur de Gallus abandonné par Lycoris. Il fait parler Gallus lui-même, qui regrette de ne pas être un obscur berger d’Arcadie, et déplore ses malheureuses amours.
BUCOLIQUES.