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LA FLEUR DU SORBIER
Paré d’aigue-marine et d’onyx et d’opale,
Le soir voluptueux sourit bizarrement,
Et, goûtant à demi la saveur du moment,
Nous regrettons tout bas une joie idéale.
Le couchant qui blêmit et rougit tour à tour,
La campagne morbide et l’heure de tristesse
Semblent nous reprocher d’avoir, ô ma Maîtresse,
Accompli sans désir les gestes de l’Amour.