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LES DEUX AMOURS

I


Un pâtre errait sur la route qui côtoie les abîmes…

La brume estompait les montagnes et les solitudes buvaient le crépuscule,

Lorsqu’il vit s’avancer la Forme de son Rêve.

Son visage pâlissait à travers les voiles,

Elle avait le sourire des mortes amoureuses.