Page:Vivien - Cendres et poussieres 1902.djvu/106

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
94
CENDRES ET POUSSIÈRES


Tu sembles écouter l’écho des harmonies ;
Bleus de ce bleu divin des clartés infinies,
Tes yeux ont le reflet du ciel de Mitylène.

Les fleurs ont parfumé tes étranges mains creuses ;
De ton corps monte, ainsi qu’une légère haleine,
La blanche volupté des vierges amoureuses.