Page:Vivien - La Dame a la louve.djvu/40

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die. La fournaise s’était miraculeusement éteinte.

Le Feu avait vaincu le Feu.

Polly s’était campée fièrement devant moi, les poings aux hanches. Ce qui me rendait furieux, c’est qu’elle n’avait pas eu peur pendant une seule seconde.

Elle n’aura pas peur davantage le jour où je la tuerai, parce qu’elle ne craint pas la mort. Elle ne craint pas Dieu non plus…

Elle me regardait sans broncher.

« Comme tu es lâche ! » dit-elle dédaigneusement.