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au gré de mon caprice. Vous n’ignorez pas que je vous détruirai, lorsque vous aurez cessé de me plaire. Silencieuse d’horreur passive, vous épiez mes gestes et mes pas… Vous attendez la Fin. Mais le moment n’est point encore venu, car votre corps me tente comme l’eau parfumée des pastèques et la pulpe des figues mûres. Votre heure n’a point encore sonné, Madonna Gemma…
Je veux tes lèvres… Des baisers, des baisers, des baisers…