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Page:Vivien - Sapho, 1903.djvu/133

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Δέδυκε μὲν ὰ σελάννα
καὶ Πληῖαδες, μέσαι δέ
νύκτες, πάρα δ ἔρχετ ὤρα,
ἔγω δὲ μόνα κατεύδω.

La lune s’est couchée, ainsi que les Pléiades ; il est minuit, l’heure passe, et je dors solitaire.

Le rossignol râle et frémit par saccades,
Et l’ombre engloutit la lune et les Pléiades :
L’heure sans espoir et sans extase fuit
Au sein de la nuit.