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Page:Vivien - Sapho, 1903.djvu/174

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Erôs, de tes mains prodigues de douleurs
Tu répands l’angoisse, et tes lèvres amères
Ont le goût du sel et le parfum des fleurs,
Tisseur de chimères.

« Psappha aimait la Rose, et la louait sans cesse, et la comparait à la beauté des vierges. »

Philostrate.


« Ainsi luttent [les vierges] aux bras de rose, aux regards étincelants, aux belles joues, à la voix de miel, (ῥοδοπήχεις καὶ ἑλικώπιδες καὶ καλλιπάρῃοι καὶ μελίφωνοι) : ceci est véritablement la douce salutation de Psappha. »

Idem.


« Anacréon dit que l’on se couronnait de fenouil, d’après Psappha et Alcée : ces derniers cependant disent aussi : (de persil). »

Pollux.