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Page:Vivien - Sapho, 1903.djvu/85

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Οὐδ’ ἴαν δοκίμοιμι προσίδοισαν φάος ἀλίω
ἔσσεσθαι σοφίαν πάρθενον εἰς οὐδένα πω χρόνον
τοιαύταν.

Je crois qu’une vierge aussi sage que toi ne verra dans aucun temps la lumière du soleil.

Jamais une vierge aussi sage que toi
Ne verra fleurir la lumière éternelle,
Contemplant sans fin la nature et la Loi
Qui pèse sur elle.