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Page:Vivien - Une femme m’apparut, 1904.djvu/128

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UNE FEMME M’APPARUT…

t’ai dit l’adieu suprême. Dors en toute sérénité, dors parmi les âmes chastes qui te ressemblent, les âmes que nul souvenir d’amour ne tourmente dans leur repos ! Dors en paix, toi qui fus l’Amitié consolante, toi qui fus la Tendresse virginale avant l’amour et au-dessus de l’amour.

Requiescat in pace… Amen…