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XVI


Vers la fin de l’hiver, je m’arrachai à la ville merveilleuse. Je revins à Paris, avec l’espérance lâche de revoir pour un instant la beauté fuyante de Vally.

La tristesse du printemps était en moi. La révolte des plantes jeunes contre la mort prochaine, l’effort inutile de la vie, m’oppressaient comme une souffrance. Que de souvenirs au cœur des renouveaux !

Je me promenais autour du Lac, les yeux vaguement charmés par les reflets des arbres sur l’onde, lorsqu’une voix limpide me fit tressail-