Page:Vivien - heure mains jointes 1906.djvu/20

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« Ô Christ que l’on redoute à l’heure du trépas,
Je ne t’ai point connu. Je ne te connais pas.

« Je te l’ai dit : je fus une simple païenne.
Laisse-moi me hâter vers la douceur ancienne,

« Et, puisque enfin l’instant de ma mort est venu,
Retrouver celles-là qui ne t’ont point connu. »