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PROLOGUE. 393
Puissent tant de beautés, dont les brillants attraits Valent mieux à mon sens que les vers les mieux faits, S’amuser avec vous d’une Prude friponne,
Qu’elles n’imiteront jamais !
On peut bien, sans effronterie, Aux yeux de la raison jouer la pruderie : Tout défaut dans les mœurs à Sceaux est combattu : Quand on fait devant vous la satire d’un vice, C’est un nouvel hommage, un nouveau sacrifice,
Que Ton présente à la vertu.
FIN DU PROLOGUE.