ACTE III, SCÈNE VIII. 445
BARTOLIN.
Je sais qu’il faut qu’en cas pareil on crie.
(A Dorâic.)
Mais criez donc un peu moins, je vous prie.
(Ali »« Burlot.)
Accordons-nous... Et vous, par charité,
Que tout ceci ne soit point éventé.
J’ai cent raisons pour cacher ce mystère.
DORFISE, à M-e Burlot.
Vous me sauvez, si vous savez vous taire ; N’en parlez pas au bon monsieur Blanford.
MADAME BURLET.
Moi ? volontiers.
BARTOLIN.
Vous m’obligerez fort.
SCENE VIII.
DORFISE, MADAME BURLET, BARTOLIN,
COLETTE.
COLETTE.
Blanford est là qui dit qu’il faut qu’il monte.
DORFISE.
contre-temps, qui toujours me démonte !
(A Bartolin.)
Laissez-moi seule, allez le recevoir.
BARTOLIN.
Mais...
DORFISE.
Mais, après ce que l’on vient de voir, Après l’éclat d’une telle injustice. Il vous sied bien de montrer du caprice ! Obéissez, faites-vous cet effort.