SCENE VIL
Z^UUHE ; ATIDE- SÉHJIWE ;
SÉRAME.
Madame, il faut du sort dévorer tout Toutrage, Il faut d*un cœur soumis souffrir ce coup affreux. Vainement Mohadir, sensible et généreux, Du coupable Ramire a demandé la grâce ; Tous les chefs, irrités de sa perfide audace, L’ont condamné, madame, à ces tourments cruels Réservés en ces lieux pour les grands criminels., Il vous faut oublier jusqu’au nom de Ramire.
ZULIM£«.
Il ne mourra pas seul, et devant q^’il expire^.... Madame, ah i gardez-vous d’un. téméraire efEort !.
A.TIIXE..
Vous rabandojineriez. À cette indigne mort ? Oublieriez-vous ainsi la grandeor de. votre. âme ?.
Z.ULIME ».
Je préviens vos conseils, n’en doutez point, madame ; Ne les prodiguez plus. Et toi, nature, et toi. Droits éternels du sang^ toujours sacrés pour moi. Dans cet égarement dont la fureur m’anime, . Soutenez bien ^mon. cœur, et gardezrinoi. d’un. crime !
Fiic. DU. quajiuème : ax : te4.