rM\ i ; i\i)FS( : i{FT.
.]o \o\s (|iio vous poiiscz, et la roiir Jo publie, (Jiio je n’ai (rautrc allairo ici qu’avec Julie.
CLITANDRE.
Oii le (lit (ra|)rès vous, mais nous n’eu ci-oyous rien.
DWI is. Oli ! crois… JiiS([u"à [)r(’S(Mil, la cliose allait l’oit Iticii ; Nous nous étions aimés, qnilti’s, i-epris encore : On en parle partout.
TUASIMOX.
Non, tout cela s"ignore.
nAMIS.
Tu crois qu’à cet oison je suis foi1 attacli( :
Mais, par ma foi, j’en suis très-iaihienient touché.
TU A SIMON.
Ou fort, ou faiblement, il ne m’importe guère.
DAMrS.
La.hilie est aimable, il est ^rai, mais légère : L’autre est ce (pi’il me faut, et c’est solidement Que je l’aime.
CLITANDUE.
Enfin donc cet objet si charmant…
DAMIS.
Vous m’y forcez ; allons, il faut hien vous l’apprendre
Regarde ce portrait, mon cher ami Clitandre ;
Çà, dis-moi si jamais tu vis de tes deux yeux
Rien de j^lus a(loral)l(^ et de plus graci(Mi\.
C’est Macé^ ([ui l’a ])eiiit ; c’est tout dire, et je pense
Que tu reconnaîtras…
CLITANDRE.
Juste ciel ! c’est Ilortense.
DAMIS.
l’oui’quoi l’en étouuer ?
T R A s 1 M N.
\ous oubliez, monsieur, Qu’Hortense est ma cousine, et clu’-ril son honneur. Et qu’un pareil aveu…
DAMIS.
Vous nous la doiiuc/ bonne ; J’ai six cfMisines, moi. <p’*' j ^"""^ abandonne ; Et je \()iis les \ei"rais loi’guer, tromper, (|iiitler,
1. J.-Iî. MacL’, peintre de miiiuitures, mort ci 1707.