ACTE I, set M- IV. xv/y
\ tonlo liotiro il y \i(’til : Titus est son ; i| »|)iii.
ARO-NS.
\s-iii |)ii lui |) ; ii’lci’ ? |)iiis-je coniplci’ siii" lui ?
\ 1. 1 ! I \.
S(’i,i ; ii<Mir, on je nw Iroiiipc, ou Mcssala conspire l’oiii- cliaii^cr SOS destins pins (pic cciiv de TcnipiiT : Il est Icrnic, iii ! r(pi(l(\ mitant ipic si flioiiiiciir On j’ainoni’ dn pa\s excitait sa Nalonr : Maître do son secret, et maîtic de Ini-mènie, hnpiMK’trable, et calme en sa fiirenr extrême.
AliO\S.
Tel autrefois dans Rome 11 parut à mi^s xeiix. Lorsque Tarquln régnant me reçut dans ces lieux : Et ses lettres depuis… Mais je le vols paraître.
SCENE rv.
ARONS, MESSALA. ALBIN.
AROXS.
Généreux Messala, l’appui de votre maître, Eh bien ! l’or de Tarquln, les présents de mon roi, Des sénateurs romains n"ont pu tenter la loi ? Les plaisirs d’une cour, l’espérance, la crainte, A ces cœurs endurcis n’ont pu porter d’atteinte ? Ces fiers patriciens sont-ils autant de dieux. Jugeant tous les mortels et ne craignant rien d’eux ? Sont-Ils sans passions, sans Intérêt, sans vice ?
MESSALA.
Ils osent s’en vanter : mais leur feinte justice,
Leur âpre austérité que rien ne peut gagner,
N’est dans ces cœurs hautains que la soif de régner.
Leur orgueil foule aux pieds l’orgueil du diadème :
Ils ont brisé le joug pour l’imposer eux-même.
De notre liberté ces illustres vengeurs.
Armés pour la défendre, en sont les oppresseurs.
Sous les noms séduisants de patrons et de pères.
Us affectent des rois les démarches altières.
Rome a changé de fers ; et, sous le joug des grands,
Pour un roi qu’elle avait, a trouvé cent tyrans.