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Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome2.djvu/472

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Page 411. ligne 45. — Dans Monsieur du Cap-Vert, ce couplet commence ainsi :

Ne voyez-vous pas qu’il faut se connaître pour s’aimer ? C’est un excès de délicatesse. Vous voilà, etc.


Page 413, ligne 24. — Dans Monsieur du Cap-Vert, il y a :

J’aye.


Page 424, ligne 11. — Dans Monsieur du Cap-Vert, on lit de plus ici :

LE CHEVALIER, on lui faisant une grande révérence.

Monsieur, permettez-moi, je vous prie.

M. DU CAP-VERT, en rendant la révérence.

Que voulez-vous, je vous prie ?


Page 443, Page 16. — Dans Monsieur du Cap-Vert, on lit :

LE COMTE, reprenant ses airs de seigneur.

Eh mais, madame !… En vérité, madame, vous m’embarrassez ! Madame, j’ai le cœur bon ; écoutez… Si vous me promettiez de n’en rien dire, et de ne me point déshonorer dans le monde, on verrait ce qu’on pourrait faire, on vivrait avec vous en bourgeois… Mais qu’on n’en sache rien, s’il vous plaît.


Page 445, ligne 24. — Dans Monsieur du Cap-Vert, ce couplet se termine ainsi :

Elle m’a donné le fouet vingt fois en ma vie.


Page 465, vers 5 :

C’est, ma foi, tout autre chose en France.


Ibid., vers 27 :

Le sombre Anglais dans ses tristes amours.


Page 450, 1er vers :

On est bien plus agréable en France.


Ibid., vers 44 :

Dont Dieu nous sauve à jamais !


FIN DES VARIANTES DES ORIGINAUX.