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Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome2.djvu/639

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VARIANTES
DE LA TRAGÉDIE DE ZAÏRE.

Page 560, vers 15. — Édition de 1740 :

Peut-il suivre une loi que mon amant abhorre ?
La coutume en ces lieux plia mes premiers ans.

Page 561, vers 5. — Dans la lettre à Cideville, du 4 janvier 1733, on trouve une autre version de ces vers. (B.)

Page 565, vers 20. — Édition de 1740 :

Des Lusignan ou moi l’empire de ces lieux.

Page 571, vers 5. — Édition de 1736 :

Eh ! qui peut aujourd’hui.

Page 577, vers 14. — Un manuscrit dans les bureaux de la police contenait de plus ces quatre vers :

Et toi, cher instrument du salut des mortels,
Gage auguste d’un Dieu vivant sur nos autels,
Bois rougi de son sang, relique incorruptible,
Croix sur qui s’accomplit ce mystère terrible ;
Dieu mort sur cette croix, etc.

Ces vers m’ont été communiqués par M. H. de La Porte, membre de la Société des Bibliophiles. (B.)

Page 582, vers 14. — Au Théâtre-Français on dit Mamelus. Toutes les éditions données du vivant de Voltaire et les éditions de Kehl portent aussi Mamelus. Mais, à l’exemple de quelques éditeurs récents, j’ai mis Mamelucs. (B.)

Page 585, vers 17. — Édition de 1736 :

Qui naquit, qui souffrit, qui mourut en ces lieux,
Qui nous a rassemblés, qui m’amène à vos yeux.

Page 589, vers 7. — Édition de 1736 :

Mes sujets prosternés offrent pour vous leurs vœux,
Venez ; en ce moment, vos superbes rivales…