Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome24.djvu/164

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garçon se mit à rire davantage ; M, Durnol s’emporta ; il donna un grand coup de pied à l’enfant, qui lui dit en pleurant : « Ah ! je conviens que l’âne de Balaam parlait, mais il ne ruait pas. »

Cette naïveté a fait sur moi une grande impression, et j’ai conseillé depuis à tous mes amis de cesser de ruer et de braire.


FIN DE LA LETTRE.