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LA DÉFENSE
DE MON ONCLE
(1767)




AVERTISSEMENT
DE DECROIX,
L’un des éditeurs de l’édition de Kehl.


La Philosophie de l’Histoire, qui sert d’introduction à l’Essai sur les Mœurs et l’Esprit des nations depuis Charlemagne, avait d’abord été imprimée sous le nom de l’abbé Bazin. Il parut une critique de cet ouvrage, ayant pour titre Supplément à la Philosophie de l’Histoire[1]. On suppose que c’est ici le neveu de l’abbé Bazin qui répond à cette critique, et venge la mémoire de feu son oncle.


AVERTISSEMENT
ESSENTIEL OU INUTILE[2].

Lorsque je mis la plume à la main[3] pour défendre unguibus et rostro la mémoire de mon cher oncle contre un libelle inconnu,

  1. À ce que j’ai dit de la Défense de mon oncle (voyez tome XI, page ix), j’ajouterai qu’elle parut en juin ou juillet 1767. Lorsque, en 1769, Larcher publia sa Réponse à la Défense de mon oncle, un anonyme fit imprimer une Lettre à l’auteur d’une brochure intitulée Réponse à la Défense de mon oncle, in-8o de 16 pages.

    J’ai rétabli, dans la table de la Défense de mon oncle, l’intitulé ou sommaire des chapitres tel qu’il était dans les éditions données par Voltaire. Les derniers mots de l’Avertissement (ci-après, page 369) en faisaient une obligation. (B.)

  2. Cet Avertissement, de l’auteur, est de 1767.
  3. Voyez ci-après, page 371.