Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome3.djvu/35

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SAMSON.

ciol, C\ Iroublos inroiimis ! JVIais ce cœnv sauvai,^, (M jo no lo suis plus. •Il’ suis chanm> ; jVprouNO uiio flauuuo naissante.

Ah ! s’il (Mail une Venus. Si (h’s Vniouis rolto roino oliarmaiilc \u\ uïoiiols (Ml (Ml’ot pouvait so pivsoulor. Je vous proudiais pour « ’llo, « M croirais la flalItM".

DALILA.

Je pourrais do \ouus iuiilor la loudrosso. Heureux qui peut hriller dos l’ouv (pTolJo a sonlis ! Mais j’eusse aime pout-(’lri> un aulro ([uVilouis, Si j"a\ais olo la doosso.

SCÈNE IV

I.KS pnKi.KOKNïs, l.i : S lIliniKl \.

l.KS HKIIUKI \.

\o lardez point. \ono/ ; loul un pon|>lo lidolo KsI prôl à niai’clior sons \os lois : So\oz le prenuor dt> nos rois ;

Conihalle/ el roi ::ne/, : la i^Hoire vous appel U-.

SAMSON.

Je \(>us suis, je le dois ; j"ac(’« »pl(> m^s prosonis.
Ml !… (|uol oliarnio puissant maiMÔto !
\li ! dilVoro/ du moins, dilloro/. (|uol(|U(> tonips
Ces honneurs brillants qu’on m’apprête.

CHOEUR DES FILLES DE GAZA.

Demeurez, présidez jà nos fêtes :
Que nos cœurs soient ici vos conquetes.

DALILA.

Oubliez les combats ;
que la paix vous attire.
Vénus vient vous sourire,
L’amour vous tend les bras.

LES HÉBREUX.

Craii^noz N » plaisir <loc(>\ant
Où votre L’rand co’iir s’abandonne ;