ACTE IV, SCÈNE VII. 67
SCÈNE Yl.
PHANOU, LKS PUKCÉDENTS.
OTOÎ ; s. Notro indignn onnonii hii-mriiio so déclare ; C’est lui <[u"()iit aiiieiié les dieux et les enfers.
TANIS,
.le suis ton ennemi, n’en doute point, barbare.
OT ()î : s. Qu’on le charge de fers : Commençons par ce sacrifice. Téméraire, tu jjériras ;
Mais ton juste supplice Ne la sauvera pas. Prenez ce fer sacré. Dieux ! quel affreux prodige ! Ce fer tombe en éclats… ces murs sont teints de sang ! .,. Ton dieu m’impose en vain ])ar ce nouveau prestige ; Il reste encor des traits pour te percer le flanc. /Ki.iDi : . Peuples, un dieu prend sa défense.
PHANOR, à sa suite, arrivant sur la scène.
Amis, suivez mes pas, et vengeons l’innocence.
OTOKS, aux mages.
Soldats (fui me servez, terrassez l’insolence.
Vous, gardez ces deux criminels ; V^ous, marchez, combattez, et vengez les autels.
(Les combattauts entrent dans le temple, qui se referme.)
SCÈNE VII.
TANIS, ZÉLIDE, gardes.
TANIS.
prodige inutile ! ô douloureuses peines ! Phanor combat pour vous, et je suis dans les chaînes ! Tous les miens m’ont suivi, mais leurs secours sont lents : Je n’ai pour vous que des vœux impuissants.
CHOEUR, derrière la scène.
Cédez, tombez, mourez, sacrilèges coupables ; Nos traits sont inévitables.