Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome32.djvu/547

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S UP P L Ê M E N T AU X CE D VRE S E N l' H S E. 7

��La Ferlé à Pâques.

C'est ici ce grand jour, si l'on en croit l'histoire, Où notre Rédempteur, tout rayonnant de gloire. Triompha de la mort et sortit des enfers : Ami, si tu le crois, va, que l'aze te f....; Quand il mourut chacun avait les yeux ouverts, Quand il ressuscita, pas un ne voyait goutte.

��Mut.

��Vendôme, pour t'avoir guéri delà v

Cuffet ici joue un grand rôle,

Et chacun l'admire en tout lieu;

Mais quoi qu'on dise du mercure, Celui qui t'a guéri de l'abbé de Chaulieu

A fait une plus belle cure.

��Le même.

Si défunt l'ami Châteaufort Dans une lettre Pouvait mettre Ce qu'on devient après sa mort, Je paierais le port de la lettre.

��Le même.

Allez vous faire f ,

Monsieur de Mazarin.

Quoi! pour un peu de f

Qui sort de votre engin, Voulez-vous mettre en feu la France? Eh! si la reine voulait

On la chevaucherait,

On la caresserait Tout aussi bien que Votre Éminence, Et si, tout mieux en irait.

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