VARIANTES D’OLY.M l’II<. 167
Page 1 21, avant-dernior vers. — Les quatre vers précédés d’une étoile sont supprimés dans l’édition de 1774. Le troisième est conforme à deu\ éditions de 1763. Dans l’édition de Kehl, on lit : Pourrez-Dous, au lieu de : Puissiez-vous.
IbuL, dernier vers. — Dans l’édition de 1774, ce vers termine la phrase qui précède les quatre vers supprimés ; et on lit : Quoi ! lui’ ? au lieu de : Qui ? lui ?
Page 123, vers 16 :
S’ils aiment à régner, qu’ils ne l’irritent pas.
Ibid., vers 2o. — Dans une édition de 1763 et dans celle de 1774 on lit :
De nos seuls ennemis attendre du secours.
Ibid., vers 26. — Ce vers est conforme à plusieurs éditions de 1763 et il celle de 1774. Dans l’édition de Kehl on lit : Rechercher au lieu de : El chercher.
Page 125, vers 4. — Entre ce vers et le suivant on lit, dans l’édition de 1774 :
De son père en ses mains j’ai remis l’héritage Conquis par Antipatre, aujourd’hui mon partage : Heureux par mon amour, heureux par mes bienfaits, Une fois en ma vie, avec moi-même en paix.
Ces quatre vers se trouvent un peu plus loin dans cette édition.
Page 126, vers 3. — Au lieu des treize vers précédés d’une étoile, on lit, dans l’édition de 1774 :
C’est un reproche affreux qu’Éphèse peut me faire : J’ai tue, etc.
Page 129, vers 2 :
Sans le pressant besoin qu’ils ont de nos prières.
Page 131, vers 18 :
Tu Ves senti, barbare, assez peu de courage.
Ibid.j avant-dernier vers ;
Ne viens point, malheureux, par différents efforts.
Page 133, vers 11 :
Que de voir mon sujet, mon meurtrier… Cassandre.